NOTRE HISTOIRE: FONDATION DE NOTRE FUTUR

Installés dans le sud de la France depuis 1918, les Moteurs Baudouin se sont construits sur des relations, un engagement et une détermination. Cent ans plus tard, nous travaillons toujours avec le même esprit pour favoriser la réussite de nos clients.

HISTOIRE DE BAUDOUIN

Old photo of Moteurs Baudouin factory floor.
Old photo of Moteurs Baudouin workshop.
Old photo of a group of people around a Moteurs Baudouin engine.
Old Moteurs Baudouin engine advert.
Old Moteurs Baudouin engine attached to propeller and gearbox.
Old Moteurs Baudouin building.
Old Moterus Baudouin advertisement with orange background.
Red speed boat.
Old Moteurs Baudouin engine specification sheet.
Group of people walking past a Moteurs Baudouin a Weichai Power Company sign.
Moteurs Baudouin Weichai China building
Group of four Moteurs Baudouin PowerKit engines.
Unvieling of Moteurs Baudouin 8M33 engine.
1900 1918 1920 1930 1940 1950 1970 1980 1990 2008 2009 2017 2023

1900-1918 : La famille fondatrice

 

 

Bien des années avant la création de l’entreprise, la famille Baudouin vivait et travaillait dans la ville portuaire de Marseille. À la fin du XIXe siècle, le chef de famille, Eugène Baudouin, possédait une fonderie de métaux où il supervisait une main-d’œuvre qui coulait du métal pour fabriquer toutes sortes d’objets allant de grandes cloches d’église aux minuscules mécanismes des montres-bracelets.

 

Les fils d’Eugène, Richard et Charles Baudouin, ainsi que leur sœur, Jeanne Baudouin, ont grandi en regardant leur père travailler dans l’environnement étouffant et impitoyable de la fonderie.

 

Après ses études, Richard a choisi de ne pas suivre les traces de son père dans l’industrie métallurgique. Au lieu de cela, il s’est tourné vers le commerce local des chantiers navals, devenant le propriétaire du chantier naval du Pharo à Marseille.

 

Entre-temps, Charles s’est intéressé à l’ingénierie mécanique. Au départ, ce n’était rien de plus qu’un passe-temps. Puis, en 1904, il dévoile sa dernière découverte: un petit moteur à essence attaché à un canoë. Désireux de tester sa nouvelle création, Charles emmène le canoë à Toulon, une ville voisine. Là, il traverse les eaux bleues de la Méditerranée pour rallier  les côtes Algériennes à 750 km de distance : un challenge qui semblait jusqu’alors impossible.

 

Les membres de la famille Baudouin étaient loin de se douter de l’importance de ce petit canoë. Ce serait le premier « moteur Baudouin » officiel, et les débuts d’une marque familiale qui, à terme, dominerait le monde de la propulsion marine.

1918-1920 : Commencer petit

 

 

En 1919, Marseille est le port le plus actif de France, voire de toute la Méditerranée. Non seulement il offre un accès facile aux navires internationaux, mais il est également relié au réseau de voies navigables intérieures du pays par un canal qui débouche sur le Rhône.  Ce trafic maritime renforce la popularité de l’atelier Baudouin  auprès du commerce maritime local,  des pêcheurs aux plaisanciers qui naviguent dans le port.

 

Les premiers produits commerciaux Baudouin sont fabriqués sur commande pour ces clients. Très simples par rapport aux normes d’aujourd’hui, il s’agissait de moteurs à essence de base, d’une puissance maximale de 5 ch. Grâce à l’expérience acquise au cours des années dans la fonderie de Baudouin, l’entreprise se diversifie et commence à produire des réducteurs pour les petits bateaux.

 

Au fur et à mesure que la demande augmente, Baudouin commence à créer des séries plus importantes de ses moteurs, augmentant ainsi la production à une échelle beaucoup plus grande. D’autres employés rejoignent l’atelier, et bientôt l’entreprise était en plein essor.

 

Les premiers moteurs sont nommés par ordre alphabétique, suivi d’un nombre indiquant le nombre de cylindres utilisés. Les archives de la société montrent une variété de ces premiers modèles : A1, A4, B2, B4, C1, E2, E4, et E6.  Nous sommes à l’aube d’une nouvelle décennie, l’entreprise entre dans une nouvelle ère de fabrication.

1920-1930 : La première gamme de produits – O, T, Y et Z

 

 

Au début des années 1920, Baudouin entre dans une nouvelle phase. Fini les moteurs fabriqués sur commande de la décennie précédente. À leur place, on trouve la toute première « gamme » de produits de la société, conçue pour répondre aux exigences de l’industrie marine.

 

Dévoilés en 1922, les moteurs à essence O, T, Y et Z couvrent une gamme de puissances allant de 3 à 60 ch, chacun étant conçu sur base de deux mots. Ces deux mots ont continué à être la philosophie de Baudouin jusqu’à ce jour… simple et robuste.

 

Ensuite, le premier moteur diesel de Baudouin, appelé DA, est lancé sur le marché – au moment où le monde est confronté à une crise économique suite au krach de Wall Street en 1929. Comme leurs moteurs, Baudouin est suffisamment robuste pour résister à la tempête, et le DA devient un énorme succès. L’entreprise est florissante, les moteurs se vendent bien sur le marché intérieur et sont exportés dans les territoires francophones d’Afrique du Nord.

 

À la fin de la décennie, Baudouin se classe parmi les trois premiers fabricants mondiaux de moteurs marins.

1930-1940 : L’ère DB

 

 

Encouragé par le succès de son premier moteur diesel DA, Baudouin se met à travailler sur une suite.

 

Lancée en 1930, la série DB est une nouvelle gamme de produits innovante, disponible dans une série de versions comprenant des moteurs à 2, 3, 4 et 6 cylindres d’une puissance de 25 à 90 ch.

 

L’une des caractéristiques les plus distinctives de ces moteurs est l’utilisation de culasses individuelles. Cela signifie que l’entretien peut être effectué sur un cylindre, sans démonter les autres. Une innovation qui offre une économie  sur les frais d’entretien rendant les moteurs particulièrement populaires.

 

Les moteurs DB sont également les premiers de leur genre à présenter des vitesses de rotation de 750 tr/min, ce qui double les limites des moteurs diesel précédents.

 

Plus rapides, plus puissants et plus faciles à entretenir, les moteurs DB ont été produits pendant 27 ans se vendant à plus de 13 000 unités dans le monde.

 

Baudouin est encore à la pointe des moteurs innovants.

1940-1950 : Années après-guerre

 

 

Pendant la Seconde Guerre mondiale, la technologie marine s’est développée à une vitesse étonnante. Après la guerre, Baudouin se met rapidement au travail. Une nouvelle gamme de moteurs est lancée : la série DG à bas régime, disponible en 3, 4 et 6 cylindres. Mais cette série ne rencontre pas le succès escompté :  les moteurs sont assez lourds; les ventes ne décollent pas.

 

La suite: la gamme GV (8 et 12 cylindres). Plus performants, ils sont principalement utilisés par les clients dans de nombreuses applications marines. La gamme renforce la position de Baudouin comme l’un des principaux producteurs de produits marins dans le monde. Ce succès s’explique en partie par l’élargissement de l’offre de produits de l’entreprise. Les catalogues Baudouin ne se limitent plus à la fabrication de moteurs, mais proposent désormais une gamme de réducteurs, d’hélices et de générateurs diesel.

 

La stratégie fonctionne bien et les bénéfices de Baudouin, ainsi que sa part de marché, continuent d’augmenter. Capitalisant sur ce succès, la nouvelle génération de moteurs est dévoilée. Appelées la gamme DK, c’est la gamme la plus célèbres de l’histoire de Baudouin. Les moteurs DK ont un alésage de 140 mm et fournissent une puissance de 40 à 150 ch. Réputés fiables et robustes, ils sont proposés en versions 2, 3, 4 et 6 cylindres. En prouve l’utilisation, encore aujourd’hui, d’une centaine de DK dans le monde

 

Avec plus de 22 000 moteurs DK vendus à cette époque, les affaires de Baudouin sont en plein essor.

1950-1960 : Expansion de la gamme de produits

 

 

Dans les années 1950, l’entreprise connaît une nouvelle période d’expansion rapide. D’autres lignes de produits sont créées et diffusées auprès d’une clientèle croissante.

 

Tout d’abord, Baudouin a publié la série DV. Disponibles en configurations 4, 6 et 8V, les nouveaux moteurs atteignent la puissance à 900 ch. Ils sont suivis par la gamme DVX, qui a connait un grand succès.

 

Outre l’élargissement de la gamme de produits, le service à la clientèle est renforcé, avec le lancement du centre de formation Baudouin, qui peut se rendre directement chez les clients pour leur montrer comment utiliser au mieux les moteurs sur place. Une étape importante est franchie en 1963, avec le départ à la retraite de l’ingénieur Antonin Pouillot, qui avait conçu tous les moteurs Baudouin sortis au cours des 40 années précédentes.

 

Pour rendre hommage à Pouillot, la ligne de produits suivante est nommée DP. Ce sont les premiers moteurs à être équipés de turbocompresseurs, atteignant une puissance de 680 ch à 1800 tr/min.  Plus compacts que n’importe quel autre moteur Baudouin, leur conception est avant-gardiste.

 

Avec la série DP, l’équivalent de 5 500 000 ch a été produit dans le monde. À la fin des années 1960, Baudouin a l’attention de conquérir le marché mondial.

1970-1980 : Défis et changements

 

 

Après avoir connu des décennies de croissance et de succès, Baudouin doit faire face à des défis économiques dans les années 1970.

 

Des défis qui ont touché de nombreuses entreprises dans le monde à cette époque. Pour maintenir son chiffre d’affaires, Baudouin se diversifie dans les moteurs de production d’énergie, qu’il fabrique pour certains des plus grands fabricants d’équipements originaux (OEM) d’Europe. Les machines alimentées par Baudouin seront ensuite conditionnées en groupes électrogènes stationnaires ouverts et fermés, ainsi qu’en versions mobiles pour la location.

 

Conservant les mêmes qualités que les robustes moteurs marins de Baudouin, ils sont construits pour une puissance continue, avec des sorties de 45 à 680 kVa. Cette première expérience avec des moteurs de générateur est un précurseur de la gamme PowerKit de Baudouin, qui a vu un retour à la production d’énergie presque 40 ans plus tard, en 2017.

 

À cette époque de son histoire, Baudouin a également conclu des partenariats avec des marques connues telles que John Deere et Renault. Les produits lancés en association avec ces leaders de l’industrie sont nommés respectivement série « D » et série « R ». En 1983, Baudouin développe la série D106, avec des moteurs allant de 70 à 170 ch.

 

Malgré un certain succès initial, les deux marques se sont développées et ont commencé à cibler l’industrie marine de manière indépendante, ce qui a donné lieu à un conflit d’intérêts. Il est donc décidé de passer à autre chose et d’arrêter la coopération. Baudouin doit trouver sa propre voie dans l’industrie.

1980 – 1990 : Le besoin de vitesse

 

 

L’entreprise décide de s’aventurer en terrain inconnu, au sens propre du terme, en s’attaquant au marché des bateaux de plaisance et des bateaux rapides. Il s’agit d’un retour à « l’ADN marin » insufflé à l’entreprise dès ses débuts.

 

Afin d’accroître la notoriété de la marque, Baudouin se lance dans le monde passionnant de la course au large, avec des bateaux de vitesse propulsés exclusivement par leurs moteurs. Adaptés de la nouvelle gamme F120, ils sont baptisés moteurs VTI (un clin d’œil aux moteurs GTI utilisés en compétition automobile). Très vite, Baudouin fait des vagues. Avec Luigi Radice à la barre, le Castello di Gancia, propulsé par deux moteurs VTI de 1 100 ch, participe au championnat européen de F1 offshore de 1989.

 

Le nom « Baudouin » est fièrement inscrit sur son flanc. Baudouin montera sur le podium lors des Grand Prix de Monaco et de Saint-Tropez, et obtiendra la première place lors de la course au large de Cannes.

 

Baudouin réussit à séduire tous les marchés, et des versions commerciales des moteurs VTI sont proposées à des clients enthousiastes. L’élargissement de la gamme VTI permet à Baudouin de pénétrer de nouveaux marchés.

1990 – 2008 : Un état d’évolution

 

 

Alors que l’entreprise entre dans les années 1990, d’autres défis l’attendent. Pour surmonter ces temps difficiles, une stratégie rigoureuse est mise en place : Baudouin doit revenir à l’essentiel et se concentrer sur les marchés de l’armée et de la pêche. Deux secteurs qui avaient connu le plus de succès les années précédentes. Étonnamment, l’entreprise est maintenue à flot par une source de revenus inattendue : le commerce des pièces détachées.

 

En 1991,  40 % du chiffre d’affaires annuel résulte des pièces détachées. Pendant un temps, le marché de l’exportation est visé : l’accent est mis sur le nouveau moteur M26. Conçu pour une puissance continue, il est disponible de 225 à 900 ch à 1 800 tr/min.

 

Peu après, le moteur suralimenté M26 SR a suivi. Bien qu’il s’agisse d’un léger succès, les exportations représentant quelque 70 % de l’activité, ce n’est pas suffisant. En coulisses, Baudouin subit plusieurs changements. La propriété a changé de mains pour ASD Industries, et plus tard, AXA Private Equity.

 

En 2008, Baudouin déménage et s’installe sur un nouveau site à Cassis. Basé à Marseille depuis les premiers jours, c’est le début d’une fin.

 

À la fin de l’année, Baudouin est mis sous séquestre. Son avenir est incertain mais il y avait une lumière qui brillait depuis l’Est.

2008 : La renaissance

 

 

En janvier 2009, Baudouin est racheté par Weichai Power, une entreprise spécialisée dans la conception, la fabrication et la vente de moteurs diesel en Chine. Les deux entreprises partagent de nombreuses qualités distinctes, notamment une histoire et une riche expérience dans la création de moteurs marins et de moteurs de production d’énergie.

 

Baudouin est une perspective attrayante pour Weichai pour de nombreuses raisons. Avec son héritage français et ses années d’expertise, Baudouin ouvre le commerce au marché occidental. En outre, il permet d’acquérir des connaissances sur la conception technique et la fabrication des produits européens. Tous deux s’avèrent inestimables pour l’entreprise Weichai. L’accord signé par le président de Weichai, M. Tan Xuguang, le nouveau partenariat Baudouin-Weichai s’est mis au travail. Baudouin est de retour aux affaires.

 

Après l’acquisition, Weichai entame un programme d’investissements réguliers. Au fil des ans, ce montant dépasse les 100 millions d’euros, et annonce une nouvelle ère pour Baudouin.

 

Au cours de la première année de la nouvelle propriété, un centre de recherche et de développement est ouvert au siège de Baudouin à Cassis. C’est là que la nouvelle génération de moteurs a commencé à prendre forme.

 

Weichai procède d’autres changements positifs, tels que l’augmentation des échelles de production et le renforcement des effectifs en France. Le réseau d’agents utilisés pour distribuer les moteurs de Baudouin est également revu, ce qui a entraîné des inefficacités dans la vente des produits finis, des pièces détachées et du service après-vente. En coulisses, Baudouin prépare un nouveau moteur.

 

Et le monde n’a pas eu à attendre trop longtemps.

2009 – 2017 : M26 Change la donne

 

 

À l’aube de sa dixième décennie, Baudouin  dévoile une toute nouvelle offre sur le marché : le M26.2. Faisant suite à la M26 lancée 20 ans auparavant, elle offre une supériorité technique accrue et un choix de versions à 6, 8 et 12 cylindres.

 

Cette nouvelle évolution permet d’accroître les performances tout en répondant aux exigences des dernières réglementations environnementales intérieures. Fort de son succès immédiat, Baudouin lance la toute nouvelle série W avec des moteurs allant de 130 à 580 ch, développés en collaboration avec Weichai. Cette période est  marquée par une nouvelle croissance pour les deux entreprises.

 

Après les énormes succès des moteurs originaux M26 et M26.2, une suite, le M26.3, est lancée en 2016. Le moteur M26.3 est plus puissant et, grâce à sa structure à rampe commune, il permet à Baudouin de respecter les dernières réglementations en matière d’émissions.

 

Ces avantages ouvrent de nouveaux marchés, clients et applications, y compris aux États-Unis. Un an plus tard, en 2017, Baudouin dévoile le moteur M33, disponible en 6 et 12 cylindres. Le moteur M33, avec son excellent ratio: densité / puissance, permet la pénétration du marché des remorqueurs, des bateaux de chantier et des navires de pêche.

 

Ces deux moteurs ont joué un rôle essentiel dans le rétablissement de la position de leader de Baudouin sur le marché de l’énergie marine.

2017 – 2018 : La gamme PowerKit

 

 

En 2017, sentant une opportunité et utilisant les connaissances et l’expérience acquises dans les années 1970-80 avec les moteurs dédiés à l’alimentation de générateurs, Baudouin décide à nouveau de se diversifier sur le marché de la production d’énergie. Un nouveau segment commercial est né : la gamme de moteurs PowerKit pour la production d’énergie.

 

Couvrant des puissances de générateur typiques de 18 à 4 125 kVA, et avec un choix de 9 modèles, c’est la plus grande ligne de produits dans l’histoire de Baudouin. En 2018, Baudouin lance quatre nouveaux moteurs, élargissant la gamme à 17 – 2 000 kVA et faisant de la gamme l’une des plus étendues du secteur de la production d’énergie.

 

La gamme est fabriquée avec les mêmes composants que les moteurs marins renommés de Baudouin : les clients peuvent compter sur les mêmes niveaux de qualité élevés. Les moteurs PowerKit sont robustes, fiables et faciles à entretenir et à intégrer dans un groupe électrogène. La marine est dans notre ADN mais les moteurs PowerKit peuvent être utilisés dans d’innombrables applications, partout dans le monde.

2018 – 2023 : La croissance internationale

 

 

La gamme de produits PowerKit a un impact significatif sur la croissance de l’activité de Baudouin. Grâce à l’introduction de ces produits, l’entreprise peut s’étendre à de nouveaux segments et à de nouveaux marchés, ce qui a entraîne une croissance interne et externe importante.

À partir de 2020, grâce aux bonnes bases de l’entreprise et à la stratégie commerciale, Baudouin poursuit sa croissance dans les secteurs de la marine et de la production d’énergie dans un contexte économique mondial difficile.

 

Pour assurer la pérennité de l’entreprise, Baudouin continue de diversifier son offre de produits et ses partenariats technologiques. En 2020, Baudouin a lancé sa première gamme de moteurs à gaz à combustion pauvre sur les marchés mondiaux. En partenariat avec PSI (Power Solutions International), une gamme complète de gaz à combustion riche a suivie, ce qui permet à Baudouin de fournir la plus large gamme de solutions d’énergie disponible dans le monde.

 

Après 5 ans d’investissement dans la recherche, le développement et les essais, Baudouin lance le moteur de propulsion marin le plus compact et le plus puissant de sa catégorie : le 6F21, parfait pour les applications de la marine de plaisance et commerciale. C’est la première de la série F à être lancée, viendront dans les prochaines décennies les versions 8, 10 et 12 cylindres.

 

Engagé à fournir des solutions d’alimentation toujours plus durables, Baudouin lance des packs hybrides standard pour tous les moteurs Common Rail de la série M, qui viennent s’ajouter aux solutions de post-traitement disponibles, allant de l’EPA 4 à l’IMO III en passant par la phase V de l’UE.

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